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L'acoustique des sauterelles, grillons et courtilières de France, Belgique, Luxembourg et Suisse

Cette archive contient les chants de sauterelles, grillons et courtilières de France, Belgique, Luxembourg et Suisse permettant leur identification via la bioacoustiqueRéférence : L’acoustique des sauterelles, grillons et courtilière de France, Belgique, Luxembourg et Suisse – Écologie et identification de Julien Barataud, 2025 des Éditions Biotope.

Identification et écologie des Ensifères de France, Belgique, Luxembourg et Suisse

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    Figure 6 : Perception par l’oreille humaine des sons produits par trois espèces de Sauterelles avec un rythme similaire mais des gammes de fréquences différentes. A – La Grande Sauterelle verte (Tettigonia viridissima) est bien audible par notre oreille, (maximum de fréquence autour de 10 kHz) –Chanteix (FR-19) – 14/06/2020 – chant nocturne 13°C.
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    Figure 6 : Perception par l’oreille humaine des sons produits par trois espèces de Sauterelles avec un rythme similaire mais des gammes de fréquences différentes. B – La Decticelle intermédiaire (Platycleis intermedia) n’est bien audible que par des oreilles jeunes et devient faiblement audible avec l’âge (maximum de fréquence autour de 20 kHz) – Le Cannet-des-Maures (FR-83) – 06/07/2020 – chant diurne 27°C.
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    Figure 6 : Perception par l’oreille humaine des sons produits par trois espèces de Sauterelles avec un rythme similaire mais des gammes de fréquences différentes. C – La Sauterelle de Bonfils (Rhacocleis bonfilsi) est quasiment inaudible, seulement perceptible à très faible distance par des oreilles jeunes (maximum de fréquence autour de 30 kHz) – Corte (FR-2B) – 24/08/2020 – chant nocturne 21°C.
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    Figure 7 : Perception par l’oreille humaine du son produit par le Conocephale des roseaux (Conocephalus dorsalis) : seul le son émis lors de l’ouverture des élytres est audible par notre oreille – Chanteix (FR-19) – 18/08/2021 – chant diurne 21°C.
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    Figure 4 : Extraits de séquences d’un même individu d’Amedegnatiana vicheti avec un enregistrement non saturé (A) et un enregistrement saturé (B) ; la saturation est visible sur oscillogramme lorsque l’amplitude dépasse 100% et sur spectrogramme avec l’apparition de trainées artefactuelles sur l’ensemble de la gamme de fréquence. Ces artefacts modifient la sonorité en expansion de temps et ne permettent plus la prise de mesures de fréquences pertinentes.
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    Figure 5 : Extraits de séquences de Pholidoptera femorata sans filtre automatique (A) et avec un filtre automatique à 10 kHz (B) ; l’atténuation des basses fréquences entraîne une perte des caractéristiques du signal, avec notamment une mauvaise appréciation de la fréquence dominante qui est normalement située dans la partie basse de la gamme de fréquences du signal.
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    Figure 2 : Montage donnant un aperçu de la diversité des chants de quelques espèces de Sauterelles françaises, avec de gauche à droite : Tessellana tesellata, Antaxius sorrezensis, Metaplastes pulchripennis, Ephippiger terrestris, Isophya pyrenaea, Leptophyes punctatissima, Platycleis affinis, Thyreonotus corsicus, Rhacocleis germanica, Pholidoptera femorata, Uromenus rugosicollis et Tettigonia viridissima.
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    Figure 10 : Spectrogramme du chant résonant de Ruspolia nitidula, avec une fréquence modulée descendante autour de 15 kHz.
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    Figure 11 : Détail du chant d’appel d’un mâle de Pholidoptera littoralis insubrica avec la vue globale d'une phrase, puis un zoom sur 3 syllabes, et enfin le détail de la structure d'une partie de syllabe.
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    Figure 12 : Correspondance entre les dents de la râpe stridulatoire et les impacts d’une stridulation de Yersinella raymondii. Ici l’archet frotte toutes les dents de la râpe stridulatoire et chacune produit donc un impact. Chez certaines espèces, les mouvements des élytres peuvent être partiels et les frottements ne concernent qu’une partie des dents. A – Râpe stridulatoire de Yersinella raymondii : image au microscope à balayage électronique d’après Heller (1988). B – Stridulation de Yersinella raymondii.
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    Figure 15 : Spectrogrammes (1) et densités spectrales (2) du chant d’un même individu de Decticus albifrons, enregistré à quelques heures d’intervalles et dans des conditions identiques à l’exception de la température. A - Chant diurne avec une tonalité pure autour de 10 kHz et de nombreux harmoniques. B - Chant nocturne avec une largeur de bande plus importante, sans tonalité pure bien marquée.
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    Figure 19 : Enregistrement d’un mâle de Grillon d’Italie (Oecanthus pellucens), avec le micro placé à environ 50 cm de l’individu émetteur, soit en face, soit en arrière soit sur le côté du mâle chanteur : l’oscillogramme montre les importantes différences d’intensité perçues par le récepteur en fonction de son positionnement par rapport à l’individu émetteur.
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    Figure 20 : Enregistrement d’un mâle de Grillon mélodieux (Oecanthus dulcisonans), avec d’importantes variations d’intensité liées aux changements de positions de l’individu émetteur.
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    Figure 24 : Chants d’appel alternés de plusieurs mâles de Pholidoptera griseoaptera très proches les uns des autres, suivis de chants de rivalité émis par deux mâles de manière successive.
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    Figure 25 : Chant d’appel classique de Gryllus campestris (A), suivi du chant de cour (B), très différent en structure et en gamme de fréquence.
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    Figure 26 : Différents exemples de chant de chants de défense enregistrés en main lors de la capture d’un individu – A - Polysarcus denticauda.
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    Figure 26 : Différents exemples de chant de chants de défense enregistrés en main lors de la capture d’un individu – B – Ephippiger diurnus.
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    Figure 26 : Différents exemples de chant de chants de défense enregistrés en main lors de la capture d’un individu – C – Sorapagus catalaunicus.
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    Figure 27 : Chant de contact d’un mâle d’Anonconotus baracunensis émis lors de la rencontre avec une femelle.
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    Figure 28 : Séquence de chant complexe de Phaneroptera laticerca avec plusieurs types de chants dont le chant d’appel classique et le chant de sollicitation des femelles (la flèche indique l’accélération déclenchant la réponse des femelles)
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    Figure 29 : Son produit par percussion d’un mâle de Méconème méridional (Meconema meridionale) sur un jeune rameau de Noisetier - Individu en captivité capturé à Chanteix (FR-19) – 16/08/2019 – chant nocturne 22°C.
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    Figure 30 : Chant d’appel classique d’un mâle d’Antaxie marbrée (Antaxius pedestris), suivi de sons produits par trémulation.
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    Figure 31 : Chant d’appel d’un mâle de Phaneroptera nana (quelques impacts lointains avec une intensité croissante) et chant de réponse de la femelle (impact isolé plus fort).
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    Figure 32 : Chants d’appel d’un mâle de Barbitistes fischeri (type 2a) avec les syllabes de déclenchement (flèches vertes), suivies du chant de réponse de la femelle.
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    Figure 33 : Chant d’appel d’un mâle de Leptophyes albovittata avec une syllabe principale suivie d’un « after-tick » (flèche verte).
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    Figure 35 : Exemple de chant alterné de Pholidoptera griseoaptera : deux mâles alternent leur chant avec des intervalles réguliers ; lorsque le premier mâle fait une pause, le deuxième émet deux phrases consécutives en conservant toujours le même intervalle.
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    Figure 36 : Exemple de chant alterné de Phaneroptera nana : deux mâles proches l’un de l’autre alternent leur chant avec des intervalles réguliers compris entre 500 et 600 ms ; une femelle répond de manière systématique au chant de chacun des mâles mais ne répond pas lorsqu’un troisième mâle intercale une phrase très proche de l’un des deux autres, avec un intervalle de seulement 125 ms.
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    Figure 37 : Exemple de chant synchronisé de deux mâles d’Uromenus rugosicollis, avec un très faible décalage entre les émissions des deux individus, permettant d’augmenter l’intensité globale du signal perçu par les femelles.
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    Figure 38 : Exemple d’interaction acoustique entre deux espèces du genre Platycleis. Un mâle de Platycleis intermedia produit d’abord des phrases normales à deux syllabes qui sont caractéristiques de l’espèce. Lorsqu’un mâle de Platycleis albopunctata albopunctata se met à chanter à proximité avec des phrases à quatre syllabes sur une gamme de fréquence similaire, P. intermedia modifie la structure de son chant en insérant des phrases anormales à trois syllabes.
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    Figure 40 : Différences importantes de gammes de fréquence entre deux mâles chanteurs de Leptophyes punctatissima stridulant l’un à côté de l’autre (séquence sans montage) : le premier avec une fréquence dominante à près de 49 kHz (valeur maximale mesurée pour cette espèce) et le second autour de 34 kHz (dans la moyenne basse des émissions de l’espèce).
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    Figure 41 : Comparaison des stridulations des individus macroptères (A) et brachyptères (B) chez Roeseliana azami minor : 1 – les individus macroptères (A) présentent une fréquence dominante en moyenne plus basse, généralement comprise entre 14,6 et 16,7 kHz et les individus brachyptères (B) présentent une fréquence dominante en moyenne plus haute, généralement comprise entre 16,6 et 21,7 kHz (22 mesures de fréquence dominante sur 5 individus macroptères et 100 mesures sur 14 individus brachyptères). 2 - Le spectrogramme montre la grande similitude dans les paramètres temporels de la stridulation d’individus macroptères (A) et brachyptères (B) enregistrés dans des conditions de température similaire ; la légère différence de gamme de fréquence est cependant visible sur le spectrogramme. A – Individu macroptère enregistré à Sostegno (IT).
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    Figure 43 : Exemples de variations du chant de quelques espèces de sauterelles, avec comparaison des chants normaux (1) et de chants aberrants en lien avec l’état d’usure des élytres (2). A- Platycleis intermedia.
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    Figure 43 : Exemples de variations du chant de quelques espèces de sauterelles, avec comparaison des chants normaux (1) et de chants aberrants en lien avec l’état d’usure des élytres (2). B- Platycleis albopunctata monticola.
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    Figure 43 : Exemples de variations du chant de quelques espèces de sauterelles, avec comparaison des chants normaux (1) et de chants aberrants en lien avec l’état d’usure des élytres (2). C - Tettigonia viridissima.
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    Figure 43 : Exemples de variations du chant de quelques espèces de sauterelles, avec comparaison des chants normaux (1) et de chants aberrants en lien avec l’état d’usure des élytres (2). D - Tettigonia cantans.
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    Figure 43 : Exemples de variations du chant de quelques espèces de sauterelles, avec comparaison des chants normaux (1) et de chants aberrants en lien avec l’état d’usure des élytres (2). E – Yersinella beybienkoi.
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    Figure 43 : Exemples de variations du chant de quelques espèces de sauterelles, avec comparaison des chants normaux (1) et de chants aberrants en lien avec l’état d’usure des élytres (2). F – Thyreonotus corsicus.
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    Figure 44 : Variations extrêmes du chant d’Uromenus rugosicollis avec le chant normal d’un individu en début de saison (A) et différents chants aberrants d’individus très usés en fin de saison (B et C) sur lesquels l’usure des dents de la râpe stridulatoire est nettement visible sur oscillogrammes.
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    Figure 45 : Variabilité acoustique entre les deux sous-espèces d’Ephippiger diurnus. : la sous-espèce diurnus (A) produit un chant monocyclique alors que la sous-espèce cunii (B) produit un chant polycyclique - A – Beaumont-du-Ventoux (FR-84) – 05/10/2018 – chant diurne 20°C. B – Individu en captivité en provenance d’Aigues-Vives (FR-34) – 20/08/2021 – chant diurne 19°C.
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    Figure 46 : Variation du chant de Platycleis albopunctata albopunctata en fonction de la température ambiante - A – Villar-d’Arêne (FR-05) – 27/08/2019 – chant nocturne 10°C. B – Conqueyrac (FR-30) – 20/09/2022 – chant nocturne 14°C. C – Royère-de-Vassivière (FR-23) – 20/08/2022 – chant nocturne 16°C. D – Vence (FR-06) – 06/07/2020 – chant nocturne 20°C. E – Saint-Mexant (FR-19) – 21/07/2021 – chant crépusculaire 26°C. F – Lachapelle-Auzac (FR-46) – 23/06/2020 – chant diurne 30°C.
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    Figure 49 : Différences de rythme entre deux individus de Platycleis albopunctata albopunctata enregistrés à quelques minutes d’intervalle : l’un plus lent, chantant dans un buisson (A), et l’autre nettement plus rapide, chantant sur un rocher encore chaud de la chaleur accumulée pendant la journée (B).
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    Figure 50 : Différences de rythme et de structure entre les chants diurnes et nocturnes d’un même individu d’Amedegnatiana vicheti : le chant diurne (A) est constitué d’une strophe de quelques phrases comptant moins de syllabes, alors que le chant nocturne (B) est constitué de phrases avec un rythme plus lent et comptant plus de syllabes - oscillogramme (partie supérieure) et spectrogramme (partie inférieure).
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    Figure 51 : Différences de structure et d’organisation des syllabes entre les chants diurnes (A) et nocturnes (B) d’un même individu d’Antaxius difformis.
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    Figure 53 : Modification de la stridulation en fonction de la température chez le Grillon champêtre Gryllus campestris : la fréquence dominante et la durée des syllabes (autour de 25 ms) restent identiques quelle que soit la température mais la durée des intervalles entre syllabes (et donc la durée des phrases) est d’autant plus courte que la température est haute.
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    Figure 54 : Modification de la fréquence dominante en fonction de la température chez le Grillon des marais Pteronemobius heydenii.
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    Figure 2 : Différences de perception du terme « accent » en fonction du mode d’écoute en hétérodyne ou en expansion de temps à travers l’exemple du chant de Phaneroptera nana. Ce chant peut être décrit en hétérodyne ou à l’oreille comme étant constitué de séries d’accents isolés, chacun d’entre eux étant en fait composé de plusieurs accents bien individualisés en expansion de temps.
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    Figure 2 : Différences de perception du terme « accent » en fonction du mode d’écoute en hétérodyne ou en expansion de temps à travers l’exemple du chant de Phaneroptera nana. Ce chant peut être décrit en hétérodyne ou à l’oreille comme étant constitué de séries d’accents isolés, chacun d’entre eux étant en fait composé de plusieurs accents bien individualisés en expansion de temps.
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    Figure 3 : Principales différences entre les terminologies anglophones les plus utilisées en Europe (e.g. Ragge & Reynolds, 1998 ; Heller, 2019) et la terminologie utilisée dans cet ouvrage à travers l’exemple du chant d’Antaxius hispanicus qui produit des sons très différents lors de l’ouverture et de la fermeture des élytres.
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    Figure 3 : Principales différences entre les terminologies anglophones les plus utilisées en Europe (e.g. Ragge & Reynolds, 1998 ; Heller, 2019) et la terminologie utilisée dans cet ouvrage à travers l’exemple du chant d’Antaxius hispanicus qui produit des sons très différents lors de l’ouverture et de la fermeture des élytres.
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    Figure 4 : Illustration de la terminologie utilisée pour la description des stridulations d’Orthoptères – exemple du chant de la Sauterelle Amedegnatiana vicheti qui produit des strophes composées de 6 à 7 phrases dont chacune contient 6 à 8 cycles bisyllabiques dans lesquels les syllabes d’ouverture et les syllabes de fermeture sont bien audibles ; la stridulation est non résonante et les impacts sont bien individualisables auditivement et visuellement.
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    Figure 4 : Illustration de la terminologie utilisée pour la description des stridulations d’Orthoptères – exemple du chant de la Sauterelle Amedegnatiana vicheti qui produit des strophes composées de 6 à 7 phrases dont chacune contient 6 à 8 cycles bisyllabiques dans lesquels les syllabes d’ouverture et les syllabes de fermeture sont bien audibles ; la stridulation est non résonante et les impacts sont bien individualisables auditivement et visuellement.
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    Figure 5 : Illustration de la terminologie utilisée pour la description des stridulations d’Orthoptères – exemple du chant du Grillon Oecanthus pellucens qui produit des phrases composées de 20 à 30 cycles monosyllabiques dans lesquels seule la syllabe de fermeture est audible (comme chez tous les Grillons) ; la stridulation est résonante et les impacts sont fusionnés et non individualisables auditivement et visuellement.
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    Figure 5 : Illustration de la terminologie utilisée pour la description des stridulations d’Orthoptères – exemple du chant du Grillon Oecanthus pellucens qui produit des phrases composées de 20 à 30 cycles monosyllabiques dans lesquels seule la syllabe de fermeture est audible (comme chez tous les Grillons) ; la stridulation est résonante et les impacts sont fusionnés et non individualisables auditivement et visuellement.
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    Figure 6 : Comparaison d’une syllabe de Phaneroptera nana composée de quelques impacts très nettement séparés et de syllabes de type 1 de Barbitistes fischeri, composées de nombreux impacts très rapprochés et plus ou moins fusionnés.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). A - Isophya pyrenaea - capt. Noailles (FR-19) - 14/07/2019 - chant nocturne 18°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). B - Phaneroptera falcata - Chateauponsac (FR-87) - 06/08/2020 - chant de type 1 nocturne 20°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). C - Ephippiger diurnus diurnus - Champs-sur-Tarentaine (FR-15) - 30/09/2021 - chant diurne 15°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). D - Antaxius chopardi - capt. l’Albère (FR-66) - 16/08/2019 - Chant nocturne 22°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). E - Decticus verrucivorus monspeliensis - Montbazin (FR-34) - 06/06/2018 - chant diurne 24°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). F -Metrioptera brachyptera - Clergoux (FR-19) - 01/09/2021 - chant diurne 25°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). G - Callicrania ramburii - Aouen (FR-09) - 12/09/2017 - chant crépusculaire 17°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). H - Corsteropleurus chopardi - Corte (FR-2B) - 25/08/2020 - chant nocturne 17°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). I - Polysarcus denticauda - Tuchan (FR-11) - 30/06/2021 - chant diurne 27°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). J - Isophya pyrenaea - Noailles (FR-19) - 05/07/2019 - chant nocturne 27°C.
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    Figure 7 : Différents exemples illustrant la différenciation des syllabes d’ouverture (en jaune) et des syllabes de fermeture (en vert). K - Gampsocleis glabra - capt. Saint-André-de-Vézines (FR-12) - 23/07/2019 - chant diurne 32°C.
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    Figure 8 : Différenciation des chants de Sauterelles (chants non résonants ou faiblement résonants avec une largeur de bande de fréquence plus importante et sur une fréquence dominante plus élevée) et des chants de Grillons et Courtilières (chants résonants avec une largeur de bande de fréquence plus faible et sur une fréquence dominante plus basse) à travers des extraits de chants de quelques espèces.
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    Figure 9 : Exemple du chant de Cyrtaspis scutata qui produit le chant le plus basique pouvant exister : chaque cycle est réduit à un seul impact produit lors de la fermeture des élytres.
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    Figure 9 : Exemple du chant de Cyrtaspis scutata qui produit le chant le plus basique pouvant exister : chaque cycle est réduit à un seul impact produit lors de la fermeture des élytres.
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    Figure 10 : Exemple du chant de Leptophyes punctatissima qui produit des cycles monosyllabiques composés d’une seule syllabe, ici une syllabe de fermeture, comme chez la plupart des Sauterelles à l’exception des genres Phaneroptera et Yersinella (Heller, 1988). Chaque syllabe est composée de plusieurs impacts.
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    Figure 10 : Exemple du chant de Leptophyes punctatissima qui produit des cycles monosyllabiques composés d’une seule syllabe, ici une syllabe de fermeture, comme chez la plupart des Sauterelles à l’exception des genres Phaneroptera et Yersinella (Heller, 1988). Chaque syllabe est composée de plusieurs impacts.
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    Figure 11 : Exemple du chant d’Ephippiger diurnus diurnus qui produit des cycles bisyllabiques avec une syllabe d’ouverture et une syllabe de fermeture à la structure et la sonorité très différentes.
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    Figure 11 : Exemple du chant d’Ephippiger diurnus diurnus qui produit des cycles bisyllabiques avec une syllabe d’ouverture et une syllabe de fermeture à la structure et la sonorité très différentes.
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    Figure 12 : Exemple du chant de Leptophyes laticauda qui produit des cycles monosyllabiques composées d’une seule syllabe, ici une syllabe de fermeture, comme chez la plupart des Sauterelles.
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    Figure 12 : Exemple du chant de Leptophyes laticauda qui produit des cycles monosyllabiques composées d’une seule syllabe, ici une syllabe de fermeture, comme chez la plupart des Sauterelles.
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    Figure 13 : Exemple du chant de Platycleis albopunctata qui produit des phrases composées de quelques syllabes de structure identique et ne différant que par de légères différences d’intensité.
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    Figure 13 : Exemple du chant de Platycleis albopunctata qui produit des phrases composées de quelques syllabes de structure identique et ne différant que par de légères différences d’intensité.
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    Figure 14 : Exemple du chant d’Antaxius sorrezensis qui produit des phrases composées de quelques cycles bisyllabiques avec une syllabe d’ouverture et une syllabe de fermeture à la structure et la sonorité très différentes.
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    Figure 14 : Exemple du chant d’Antaxius sorrezensis qui produit des phrases composées de quelques cycles bisyllabiques avec une syllabe d’ouverture et une syllabe de fermeture à la structure et la sonorité très différentes.
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    Figure 15 : Exemple du chant de Roeseliana azami minor qui produit de très longues phrases pouvant durer plusieurs minutes, composées de cycles très courts avec une syllabe de fermeture bien audible et une syllabe d’ouverture beaucoup plus faible mais perceptible sur les bonnes séquences.
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    Figure 15 : Exemple du chant de Roeseliana azami minor qui produit de très longues phrases pouvant durer plusieurs minutes, composées de cycles très courts avec une syllabe de fermeture bien audible et une syllabe d’ouverture beaucoup plus faible mais perceptible sur les bonnes séquences.
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    Figure 16 : Exemple du chant de Platycleis affinis qui produit des phrases hétérogènes composées de syllabes variant par leur durée (série de macrosyllabes suivie par une série de microsyllabes).
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    Figure 16 : Exemple du chant de Platycleis affinis qui produit des phrases hétérogènes composées de syllabes variant par leur durée (série de macrosyllabes suivie par une série de microsyllabes).
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    Figure 17 : Exemple du chant de Callicrania ramburii qui produit des phrases hétérogènes composées de syllabes variant par leur durée et leur structure (série de cycles microsyllabiques avec une syllabe d’ouverture bien audible, suivie par une série de cycles macrosyllabiques avec une syllabe d’ouverture plus faible ou absente).
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    Figure 17 : Exemple du chant de Callicrania ramburii qui produit des phrases hétérogènes composées de syllabes variant par leur durée et leur structure (série de cycles microsyllabiques avec une syllabe d’ouverture bien audible, suivie par une série de cycles macrosyllabiques avec une syllabe d’ouverture plus faible ou absente).
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    Figure 18 : Exemple du chant de Pholidoptera aptera qui produit des strophes homogènes composées de phrases à 4 cycles. Les cycles sont généralement monosyllabiques : seule la syllabe de fermeture est bien audible et la syllabe d’ouverture est peu ou pas audible. Les cycles ont une intensité croissante au sein de chaque phrase.
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    Figure 18 : Exemple du chant de Pholidoptera aptera qui produit des strophes homogènes composées de phrases à 4 cycles. Les cycles sont généralement monosyllabiques : seule la syllabe de fermeture est bien audible et la syllabe d’ouverture est peu ou pas audible. Les cycles ont une intensité croissante au sein de chaque phrase.
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    Figure 19 : Exemple du chant de Tettigonia viridissima qui produit des strophes homogènes plus ou moins longues et composées de courtes phrases accolées les unes aux autres ; chaque phrase est composée de 2 cycles avec une syllabe de fermeture bien audible et une syllabe d’ouverture beaucoup plus faible mais perceptible sur les bonnes séquences.
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    Figure 19 : Exemple du chant de Tettigonia viridissima qui produit des strophes homogènes plus ou moins longues et composées de courtes phrases accolées les unes aux autres ; chaque phrase est composée de 2 cycles avec une syllabe de fermeture bien audible et une syllabe d’ouverture beaucoup plus faible mais perceptible sur les bonnes séquences.
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    Figure 20 : Exemple du chant de Conocephalus fuscus qui produit de longues strophes homogènes composées de courtes phrases accolées les unes aux autres ; chaque phrase est hétérogène puisque composée de 3 cycles qui diffèrent par leur durée (dernier cycle un peu plus long que les deux précédents), par l’intensité de la syllabe d’ouverture (bien marquée sur le premier cycle, plus faible sur les cycles suivants) et par la durée des intervalles entre syllabes d’ouverture et syllabes de fermeture (plus faible sur le deuxième cycle et plus grande sur le dernier).
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    Figure 20 : Exemple du chant de Conocephalus fuscus qui produit de longues strophes homogènes composées de courtes phrases accolées les unes aux autres ; chaque phrase est hétérogène puisque composée de 3 cycles qui diffèrent par leur durée (dernier cycle un peu plus long que les deux précédents), par l’intensité de la syllabe d’ouverture (bien marquée sur le premier cycle, plus faible sur les cycles suivants) et par la durée des intervalles entre syllabes d’ouverture et syllabes de fermeture (plus faible sur le deuxième cycle et plus grande sur le dernier).
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    Figure 21 : Exemple du chant de Barbitistes serricauda qui produit des strophes hétérogènes composées de 3 à 5 phrases lâches composées de cycles monosyllabiques. Au sein de chaque phrase, le nombre de syllabes varie entre 1 et 5. Au sein de chaque syllabe, les impacts sont plus ou moins fusionnés et difficilement individualisables.
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    Figure 21 : Exemple du chant de Barbitistes serricauda qui produit des strophes hétérogènes composées de 3 à 5 phrases lâches composées de cycles monosyllabiques. Au sein de chaque phrase, le nombre de syllabes varie entre 1 et 5. Au sein de chaque syllabe, les impacts sont plus ou moins fusionnés et difficilement individualisables.
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    Figure 22 : Exemple du chant de Barbitistes fischeri de type 2b qui produit des strophes hétérogènes composées de phrases lâches composées de 4 à 11 cycles monosyllabiques, alternant avec des cycles isolés. Au sein de chaque syllabe, les impacts sont plus ou moins fusionnés et difficilement individualisables.
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    Figure 22 : Exemple du chant de Barbitistes fischeri de type 2b qui produit des strophes hétérogènes composées de phrases lâches composées de 4 à 11 cycles monosyllabiques, alternant avec des cycles isolés. Au sein de chaque syllabe, les impacts sont plus ou moins fusionnés et difficilement individualisables.
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    Figure 23 : Exemple du chant de Conocephalus dorsalis qui produit des séquences complexes constituées de l’alternance de deux types de chant : des strophes homogènes constituées de phrases à 4 cycles et des longues phrases constituées de cycles accolés les uns aux autres. Dans chacune des parties de la séquence, les cycles sont bisyllabiques avec des syllabes d’ouverture et des syllabes de fermeture bien audibles.
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    Figure 23 : Exemple du chant de Conocephalus dorsalis qui produit des séquences complexes constituées de l’alternance de deux types de chant : des strophes homogènes constituées de phrases à 4 cycles et des longues phrases constituées de cycles accolés les uns aux autres. Dans chacune des parties de la séquence, les cycles sont bisyllabiques avec des syllabes d’ouverture et des syllabes de fermeture bien audibles.
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    Figure 24 : Exemple du chant de Amedegnatiana vicheti qui produit des séquences complexes constituées de l’alternance de deux types de chant : des strophes homogènes et des cycles isolés.
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    Figure 24 : Exemple du chant de Amedegnatiana vicheti qui produit des séquences complexes constituées de l’alternance de deux types de chant : des strophes homogènes et des cycles isolés.
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    Figure 1 : Chant d’appel d’un mâle d’Euthystira brachyptera.
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    Figure 1 : Chant d’appel d’un mâle d’Euthystira brachyptera.
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    Figure 2 : Chant d’appel d’un mâle de Pseudochorthippus parallelus.
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    Figure 2 : Chant d’appel d’un mâle de Pseudochorthippus parallelus.
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    Figure 4 : Chant d’un mâle de Cicada orni.
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    Figure 4 : Chant d’un mâle de Cicada orni.
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    Figure 5 : Chant d’un mâle de Lyristes plebejus.
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    Figure 5 : Chant d’un mâle de Lyristes plebejus.
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    Figure 6 : Chant d’un mâle de Cicadatra atra.
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    Figure 6 : Chant d’un mâle de Cicadatra atra.
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    Figure 7 : Chant d’un mâle de Tettigettalna argentata.
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    Figure 7 : Chant d’un mâle de Tettigettalna argentata.
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    Figure 8 : Chant d’un mâle de Tibicina haematodes.
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    Figure 8 : Chant d’un mâle de Tibicina haematodes.
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    Figure 9 : Chant d’un mâle de Tettigettula pygmaea.
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    Figure 9 : Chant d’un mâle de Tettigettula pygmaea.
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    Figure 10 : Chant d’un mâle de Cicadetta petryi.
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    Figure 10 : Chant d’un mâle de Cicadetta petryi.
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    Figure 11 : Cymbalisation de Setina aurita.
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    Figure 11 : Cymbalisation de Setina aurita.
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    Figure 12 : Cymbalisation de Cymbalophora pudica.
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    Figure 12 : Cymbalisation de Cymbalophora pudica.
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    Figure 13 : Cymbalisation de Pseudoips prasinanus.
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    Figure 13 : Cymbalisation de Pseudoips prasinanus.
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    Figure 14 : Cymbalisation d’Achroia grisella.
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    Figure 14 : Cymbalisation d’Achroia grisella.
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    Figure 15 : Cris sonars de Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii).
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    Figure 15 : Cris sonars de Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii).
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    Figure 16 : Exemples de cris sonars en expansion de temps produits par différentes espèces de Chiroptères.
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    Figure 17 : Cris sociaux de Pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus).
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    Figure 17 : Cris sociaux de Pipistrelle commune (Pipistrellus pipistrellus).
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    Figure 18 : Chant d’un mâle de Crapaud vert (Bufotes viridis).
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    Figure 18 : Chant d’un mâle de Crapaud vert (Bufotes viridis).
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    Figure 19 : Chant d’un mâle de Crapaud calamite (Epidalea calamita).
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    Figure 19 : Chant d’un mâle de Crapaud calamite (Epidalea calamita).
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    Figure 20 : Chant d’un mâle d’Alyte catalan (Alytes almogavarii).
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    Figure 20 : Chant d’un mâle d’Alyte catalan (Alytes almogavarii).
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    Figure 21 : Chant d’un mâle de Locustelle tachetée (Locustella naevia) avec une très longue phrase.
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    Figure 21 : Chant d’un mâle de Locustelle tachetée (Locustella naevia) avec une très longue phrase.
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    Figure 22 : Chant d’un mâle de Locustelle tachetée (Locustella naevia) avec des phrases plus courtes.
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    Figure 22 : Chant d’un mâle de Locustelle tachetée (Locustella naevia) avec des phrases plus courtes.
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    Figure 23 : Chant d’un mâle de Locustelle luscinioïde (Locustella luscinioides).
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    Figure 23 : Chant d’un mâle de Locustelle luscinioïde (Locustella luscinioides).
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    Figure 24 : Chant d’un mâle d’Engoulevent d’Europe (Caprimulgus europaeus).
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    Figure 24 : Chant d’un mâle d’Engoulevent d’Europe (Caprimulgus europaeus).
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    Figure 25 : Chant d’un mâle de Petit-duc scops (Otus scops) – Hyères (FR-83) – 20/06/2017 – enregistrement Stanislas Wroza.
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    Figure 25 : Chant d’un mâle de Petit-duc scops (Otus scops) – Hyères (FR-83) – 20/06/2017 – enregistrement Stanislas Wroza.
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    Figure 26 : Chant d’un mâle de Gorgebleue à miroir (Luscinia svecica).
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    Figure 26 : Chant d’un mâle de Gorgebleue à miroir (Luscinia svecica).
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    Figure 27 : Claquement produit par une clôture électrique.
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    Figure 27 : Claquement produit par une clôture électrique.
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    Figure 28 : Battements d’ailes d’un mâle de Ver luisant (Lampyris noctiluca).
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    Figure 28 : Battements d’ailes d’un mâle de Ver luisant (Lampyris noctiluca).
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    Figure 29 : Battements d’ailes d’une Ammophile (Ammophila sp.) à l’entrée de son terrier.
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    Figure 29 : Battements d’ailes d’une Ammophile (Ammophila sp.) à l’entrée de son terrier.
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    Figure 30 : Enregistrement mystère, se rapportant probablement à une cymbalisation de Papillon nocturne.
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    Figure 30 : Enregistrement mystère, se rapportant probablement à une cymbalisation de Papillon nocturne.

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